Dans la prison

Aïratan arriva à l'arène et fut projecter sur le mur par les 3 soldats. Ils eux même le culot de me dire cette phrase en pleine face.

- Au mais pauvre Kelnozz il risque de se faire massacrer mais toi tu soufrira de t'avoir enfui avec.

Un soldats s'approcha d'Aïratan de plus en plus près. Aïratan effrayer recula à son tour. Elle chercha ses armes mais ce rappella quelque instent après qu'il les avait enlever. Le soldats était maintenant à moin de 1 mettre d'elle. Il désipa son pantalon et s'approcha de celle-ci. Maintenant Aïratan s'avait ce qui l'attendait. Elle avait peur et était dégouté.

- Non...Non ...je vous en prit pas ça!!!

Il était trop tard les 2 autres soldats arriva par surprise en arrière d'elle et la retena. Elle ne pouvait plus rien faire appard espérer que tout finisse bientôt. Le soldats la percuta alors et elle fut violer. Quand ils eurent fini de s'amuser, il partir et referma la grille tout en la verouillant. Aïratan était en pleure plier en 2.

- ....Pourrrr...qu..quoi...moi!!!

Puis elle se souvenu de Kelnozz.

" Au pitier faite que Kelnozz soit encore en vie! "

Voyant qu'elle n'avait plus aucune issu elle espèrait que quelqun vienne lui ouvrir la porte enfin.

Je fus emmener à l'arène et mis dans une cellule. Le donjon se situait au troisième sous-sol. Quand les gardes mis projetèrent , je sentis le sol glacé sous moi. Tant bien que mal j'ouvrit les yeux. Il faisait noir et j'avais de la misère à voir.

Alors j'entendis un bruit de chaîne. Je me retournai et vis Airatan. Elle était dans un piètre état. Ses vêtement étaient en lambeaux et ils laissaient voir ses courbes féminines. Sur son visage se lisait la détresse.

-Qu'est-ce qu'ils t-ont fait, lui demandai-je fermement?

Aïratan prit même pas la peine de regarder qui était entrer dans sa cellule. Quand elle entendu la voix de Kelnozz si rassurante, des larmes commençèrent à couler sur ses joues. Elle esseilla le plus possible de cacher ses courbes féminines. La gêne et la peur était venu à elle et qui sais peut-être ne sera t'elle plus jamais pareil. Elle tourna alors la tête dans le sens inverse de Kelnozz pour que celui-ci ne voye pas sa peine immense. Elle était maitenant détruite à jamais. Mais Aïratan avait une immense confiance en Kelnozz et il était le seul à pouvoir l'aider. Elle savait très bien qu'il ne lui ferait jamais de mal.

- Il....m..mon....v...vi...oll.....er...er!!

Elle n'était pas capable de dire un mot sans pleurer et respirer entre. Elle souhaitait partir très loin d'ici et ne plus jamais y revenir.

Violée, pensai-je. Mais c'est terrible. Alors la colère m'envahit. Rouge de rage je m'approchai de la jeune fille. Lui tourna la tête doucement pour la forcer à me regarder et lui demander:

-Qui sont les homme qui t'ont fait ça? Je veux le savoir pour que de mes mains je puisse les étrangler.

Ma voix était ferme mais rassurante je ne voulais en aucun cas effrayer Airatan.

Kelnozz tourna doucement la tête d'Aïratan pour l'oubligeai à le regarder. Elle avait honte d'elle même en plus elle était tout barbouiller tellement elle avait pleurer. Elle esseilla de cacher le plus possible ses larmes et réussi à se clamer un peut. Elle ne savait pas pourquoi mais Kelnozz réussisait à la rassurer.

- Les ...3...soldats!

Elle avait encore beaucoup trop de peine pour être capable de prononcer bien les mots. Entre tout ses mots, elle arrêtait pour respirer et elle échappait à chaque coup un petit sanglot.

Bouillant de rage je me levai et étant hors de moi je cognai à grand coup de poins la porte en fer qui nous retenait prisonnier. Alors j'entendis des bruit de pas dans le corridor. Un garde s'approcha de l'autre côté de la porte et me cria:

-Holà, ça vas faire le tapage.

-Dis moi ton nom fumier pour que je puisse te tué lorsque je serai libre, lui criai-je.

-Cela m'étonnerait fort bien, ricana t-il, le roi a proclamé que tu serais brulé demain à l'aube. Alors calme toi et profite de ta dernière nuit dans se monde.

Désespéré je continuai à cogner contre la porte et à crier des insultes au garde qui était loin déjà. Alors je me lessai tombai sur le sol. J'étais mort et je le savais. J'évitai donc de regarder la jeune prisonnière tellement j'étais désèspérer. Je n'avais plus mes armes, on me les avait enlevés. Je me couchai sur le sol de pierres froide et fermai les yeux et tentai de m'endormir sans succès. C'était ça le prix de la liberté.

Cirick n'eut pas de problème à trouver le couloir de la prison. Un chemin de torches allumées lui indiquaient le chemin. Il trouva aussi facilement la cellule où se trouvait l'élue, un garde veillait devant la porte. Cirick arriva.

- Le supérieur m'a demandé de prendre la relève.

Le garde le regarda d'un drôle d'air. Il portait bien l'uniforme de la garde mais son visage ne lui disait rien.

- T'es qui toi? Je t'ai jamais vu ici.
- Un nouveau. J'arrive d'une autre ville. Le supérieur m'a demandé de prendre la relève.

Le garde fronça les sourcils mais ne dit rien. Il avança de quelques pas, se retourna vers la "recrue", puis partit.

Lorsque le garde fut loin, il fit jouer le jeu de clées dans ses mains. L'idiot n'avait même pas remarqué que Cirick le lui avait pris. Il devait agir rapidement maintenant avant que les vrais gardes remarquent la fourberie.

Il débarra la porte et l'ouvrit.

- Je viens chercher Aïratan.

Rapidement j'ouvris les yeux. Un garçon de 15 ans environ se tenait devant moi. C'était sûrement un garde qui venait la chercher. Alors, désarmé, je me mis en travers de son chemin. Je le jaugeai un instant.

Il avait un regard acéré qui ne me disais rien de bon. Je remarquai alors ses armes. Son épée brillait d'une lueur rouge. Elle était sûrement enchantée. Aucun garde de Junik ne possédait d'arme de telle sorte. Prudent mais déterminé à se qu'il ne touche à la Airatan, je lui lanceai sur un ton de défi.

-Mon ptit, tu devra avant tout me passer sur le corps!!!

Cirick soupira et croisa les bras sur son ventre dans une attitude décontractée. Ses mains très près de la garde de son épée et de sa dague. Il installa son bouclier en télékinésie pour prévenir les coups possibles.

- J'ai pas de temps à perdre, Grisou. Je viens pour la sortir de cet arène et si t'es gentil gentil, j'vais peut-être aussi t'emmener avec moi. Les gardes vont probablement bientôt arriver alors pousse-toi.

Le ton de Cirick était sans réplique. De sa vision infra-rouge, il repéra facilement la princesse au fond de la cellule. Il se foutait royalement de l'homme qui s'était dressé devant lui. L'important, c'était l'élue.

Il me provoquait et ça je ne le prenait pas, mais mes frustrations personnelles devraient attendre. Alors je pris une grande inspiration pour me calmer et me tassai pour laisser la place à l'inpertinant étranger. Je me dit que le momment viendrait de montrer à ce petit coq à qui il avait à faire. Pour l'instant il allait m'éviter une mort attroce en me faisant sortir de cette prison.

-Comment tu compte nous faire sortir d'ici? lui demandai-je.

Cirick avança jusqu'au fond de la cellule. Une chaîne rattachait une cheville d'Aïratan au mur. Il sortit le trouceau de clées et la lui libéra. Darkhorn passa son bras sous les épaule de l'adolescente et la redressa sur ses pieds. La princesse n'avait plus beaucoup de vêtements et disons que l'essentiel était parfois assez visible. Il regarda l'autre prisonnier du coin de l'oeil puis Aïratan.

- C'est toi qui a fait ça? Il existe d'autres moyens beaucoup plus utiles de passer le temps.

Cirick s'approcha de la porte tenant toujours la princesse.

- Il y a deux possibilités pour sortir. Tout dépend si vous avez quelque chose à aller récupérer d'utile, comme une arme par exemple, ou si on sort tout de suite. Dans les deux cas, j'ai prévu une échappatoire.

Circk n'était pas du genre à perdre son temps. Si tôt arrivé près de l'arène, il avait repéré les lieux. Pour lui, s'était un jeu d'enfant de sortir sans se faire remarquer. Il fallait juste que les deux autres soient coopératifs.

-Nous avons des armes à aller chercher et nous ne sortirons pas sans les avoir récupérés.

Le fais que cet étrange personnage soit si près de la jeune fille me choquait. Jamais je ne le laisserais lui faire du mal. Sa façon de se mouvoir silencieusement et ses idée d'évasions me confirmère que se n'était pas un guerrier. Sûrement un assassin ou un voleur, pensai-je. Ses propos obsènes entre moi et Airatan me répulsais. Jamais je ne l'avait touchée. Je crois que j'aurais une petite conversation avec l'étranger une fois sorti de là.

-Parfait! Je crois que l'on vas bien s'anuser, m'esclamai-je en laissant l'inconnu me mettre les bracelets.

Son plan avait l'air crédible et efficace. Alors je le suivi les poignets menotés. Airatan avais l'air d'aller mieux. Bientôt, nous serions à l'air libre à nouveau. Il y avait pourtant un autre show sanglant à donné avant d'avoir notre libertée.

Cirick le regarda durement.

- Ça n'a rien d'un jeu.

L'adolescent commença à avancer d'un pas assuré dans le couloir. Il n'avait pas hésité un seul instant. Il était un garde comme les autres après tout. Il tira l'autre prisonnier à sa suite.

- Avance!

[Je te laisse décider si tu veux partir un sujet dans les couloirs de l'arène ou si tu veux écrire tout de suite à la salle des gardes.]