Une fois dans la rue!

J'était dans la campagne. Je m'amusait à courir dans les champs. Alors ma mère m'appela pour souper. Elle était tellement belle. Tout comme moi elle avait les cheveux argentés, un visage angélique et un regard appaisant.

Elle m'attendait sur le pas de la porte quand une flèche venue de nul parts se ficha dans son cou la tuant instantanément. Affolé je courut vers elle. Un homme m'agrippa par les cheveux et m'entraina avec lui. C'était Pyrgus. Il me regardait avec un air monstrueux. Pour mon tout jeune âge, j.était effrayé. Alors des homme vêtu de noir brûlère ma maison et bariquadèrent la porte. J'entendis les cris d'agonie de mes frères et soeurs brulés vif.

-Ma famille, pleurège

-Maintenant c'est nous ta famille, me dit Pyrgus en souriant.

Je me réveillai en sursaut et couvert de sueur. La jeune fille était déjà réveillé. Quel cauchemar! Trop gènépour parler je me contentai de la regarder.

Aïratan enleva alors son bandage avec difficulter. Ceci lui fesait souffrir au plus au point. Quand elle réussisa, elle posa ses 2 mains sur sa blaissur et se concentra. Quelque instent plus tard, une lumière bleuté apparru au bout de ses doigts et guérissa immédiatement sa blaissur. Puis elle se sentit beaucoup mieux. Elle se tourna alors vers Kelnozz qui venait de ce réveiller. La sueur perlait sur son frond il s'emblait avoir fait un cauchemard atroce. Aïratan s'approcha alors de lui.

- Es-ce que tu vas bien?

Gèné, je ne répondis rien. Après quelques instants je hoché affirmativement de la tête. Stupéfait par ce qu'elle venait de faire je lui demandai timidement:

-Comment à tu fais ça? Je veux dire... comment à tu faire pour te guérir seule?

Aïratan lui souria il s'emblait curieux.

- J'ai eu un pouvoir de guérison à ma naissance. J'ai juste à placer mes mains sur ma blaissur peut importe qu'elle soye grosse ou petite que je pense très fort. Ensuite, il y aura une lumière bleuté qui sortira de mes doigts et me guérira à la minute près. Mais ceci est vraiment pas mon seul pouvoir.

Aïratan devenu curieuse à son tour.

- Et toi possède tu un pouvoir quelqu'onque?

Voyant quelle s'intéressait à moi je m'empressai de répondre.

-Non. J'ai les même pouvoir qu'un habitant de Junik normal mais rien de plus. Je me concentre plus sur l'art du combat. Avant je me battait avec une épée longue mais maintenant que j'ai l'épée de Pyrgus, je devrai apprendre à me battre avec deux lames. Je t'ai vu hier. Tu te bats avec deux dague, alors je me disais que....... tu pourais m'apprendre.

C'était la première fois que je pouvait parler librement avec quelqu'un. J'étais si heureux!

Aïratan eu un sourire en coin. Ce garçons s'emblait si gentil et attentionner. Il était enfin libre et heureux tout ceci rendait joyeuse Aïratan. Quand il lui annonça qui l'avait vu combattre hier, Aïratan rougit de gêne.

- Oh vous mavez vu...ehhhh.. oui biensur avec plaisir...je vous l'apprendrez!

Aïratan ce leva et tendit sa main vers le garçons. En plus elle le trouvait craquant!!

- Ça serais mieux que nous partions loin d'ici!

-Oui, le plus tôt possible sera le mieux

Elle était si gentille avec moi. Son doux sourire me faisait complètement oublier les évênement de la veille. Son regard apaisant m'avait complètement fait baisser ma garde. Tellement qu'on nous avait encerclé sans que ni moi ni elle sans aperçoive. Gêné je lui demandai:

-En passant... comment tu t'appel.

À ce momment une vingtaine de gardes royales arrivèrent. Malheureusement pour nous, la petite ruelle où nous avions passé la nuit avait été encerclée. Aucune issue de secoure pouvait être envisagé. Le soldat le plus équipé, sûrement le général, dégaina son épée et déclara:

-Kelnozz, nous vous arrêtons pour meurtre du maître d'arme Pyrgus et pour traitrise envers l'arène. Suivez moi ou mourrez.

Confiant et sur de moi je murmurrai à l'oreille de la jeune fille:

-Je croie qu'il est temps de s'amuser un peu.

Alors je dégainai mes armes et chargea le général.

hj: Et puis si ces po correct dit moi le!!!

Aïratan se leva d'un bond en entendant la voix si froide d'éclarer que Kelnozz était un meurtrier et qu'il devait les suivrent sinon il mourait. Puis elle écouta Kelnozz lui chuchoter son message à son oreille. Puis quand Kelnozz s'éloigna d'elle, Aïratan apperçu alors Beleth son père qui se tennait devant elle. Il lui prit fermement le poignait rouge de colère et la frappa de coup de fouet a plein de reprise. Aïratan recommença à perdre beaucoupde sang mais cette fois si s'était pire. Elle était maintenant à genou par terre. Beleth la regarda presque éteinte et la souleva.

- Je veux que 3 soldats l'apportent à l'arène et qu'on l'enferme j'irai la voir plus tard. Moi pour l'instent je vais m'occuper de se salle meurtrier auquelle jamais ma fille aurait du parler. Exécution!!!!

Les 3 soldats arriva et pogna violament Aïratan. Quand a elle, elle regarda Kelnozz qui était lui aussi en grand danger. Il aura besoin d'elle avec tout ses soldats qui si trouvait. Et en plus son père Beleth le plus grand maître des armes et le roi y si trouvait. Avec sa force qui lui restait elle cria alors.

- Je m'appelle Aïratan et je te retrouverai très vite ne te préoccupe pas de moi. Surtout consentre toi je ne veux pas te perdre!!!

En attendant tout ses paroles, Beleth soupira. Il aimait sa fille plus que tout mais la voir avec un tueur dépassait les bornes.

- Alors que décide tu Kelnozz?

J'esquiver un coup à la tête et frappa avec mes lames pour faire un X. D'une lame le soldat bloqua. Je détestais me battre avec deux lames: mes coup étaient gauches et maladroits. En plus, Nightkiller était de plus en plus lourde entre mes doigts.

Alors j'entendis la jeune fille crier. Airatan... quel beau nom! Cette fille belle comme une ange avait un nom de déesse. Son père, par contre, n'avait rien d' un ange. Je l'entendit crier son ordre. Sans quitter mon adversaire du regard, je jetter un coup d'oeil à Airatan. Elle se faisait emmener par trois garde. Les soldat restant se raprochaient de plus en plus de moi, leurs épée tirées. Le roi me posa alors une question. Je bloquai une attaque basse de mon adversaire. De mon épée libre je lui tranché la tête. Alors le visage couvert du sang de mon adversaire, je me tournai vers le roi fou de rage, le regardai dans les yeux et lui répondit:

-Je vous suivrai en prison, prené moi... si vous le pouvez!!!!!!!

Alors je rengeai Nightkiller qui m'emcombrait et brandit Dragonslayer qui brulait d'un feu ardent. Je n'avait aucune chance de m'en sortir. J'étais entouré par vingt soldats armé jusqu'au dents. Alors je vis ma planche de salut. Une échelle qui montait sur les toits de maison.

[color=orange]D' un bon je sautai par dessus [color:477f=orange:477f]un soldat qui tenta de me cueullir au vol avec son arme. Je fus trop rapide pour lui. Je courut vers l'échelle et grimpai rapidement. Ensuite je courai le plus vite que je pouvait sautant de toit en toit. Quelques fois je regardais par dessu mon épaule pour voir si on me suivait. En effait cinq soldats tentaient de me rattraper avec leur armure lourde qui les ralentissait. Moi, heureusement, j'avait une armure de cuire noire légère. Tout à coup j'arrivai à une grande rue. Je ne pouvais pas sauter de l'autre côté et sauter en bas serait du suiscide.

Je me tournai vers mes cinq ennemis que je devrais affronter en même temps. Je sortit Dragonslayer que j'avais rangée pour courir plus vite. J'appuillai sur l'oeil du dragon. Alors la lame et les flame jaillirent faisant sursauté mes assaillants qui rallentirent de peur de m'affronter. Je devint alors dans une sorte de transe pour me permettre d'affronter cinq ennemis en même temps. J'ouvris mes yeux et chargeai. Placé en éventail ils croyaient me prendre en tenaille. Je bondit. Je bloquai et contre-attaquai expédiant un soldat dans les abysse. Ensuite deux tentèrent de me prendre en sandwich. Je fis un back-Flip, atteris et frappa. Un autre de moins me dis-je. Les trois dernier chargèrent ensembles. Leurs moulinets étaient en parfait sincronisme et me faisaient perdre du terrain. Je reculais de plus en plus prêt du bord de l'immeuble où nous étions. Alors, je réutisai mon agillitée exeptionnelle. Je sautai par dessus mes assaillants et en tuai deux d'un coup horizontal. Le dernier me frappa à la jambe. J'esquivai et frappai. Il bloqua et tourna sur lui même: la métode du vortex que Pyrgus m'avait appris à contrer. Je reculai et plongeai à plat ventre et lui transpersa la hanche gauche. Ensuite je lui donnai un coup de pied et il tomba en bas de l'immeuble, faisant sursauter des passants. Alors une flèche me transpercea le flanc droit.

-Airatan, criai-je avant de tombai dans l'inconcience. Je vis des soldat me prendre et me transporter, sûrement en prison.