Au retour de Junik

Je m'engouffrai dans le portail à mon tour. Alors je fut téléporté au monde des passage. C'était assez étrange d'être là et de savoir que Junik n'était pas le seul monde. Calmement, je me retournai vers Cyrik et lui demandai:

-Bon, maintenant, où allons nous?

Cirick remballa son fourreau afin que la lame rouge ne soit plus visible comme à son arrivée dans le monde des passages. Pour éviter des problèmes inutiles, il ne souhaitait pas que des gens reconnaissent là une épée vampire et qu'ils fassent les mauvaises déductions.

- On va aller retrouver les deux élus qui sont déjà présents. Là, on verra si on attend tout le monde ou si on part tout de suite sur Terre.

Aïratan arriva à son tour dans le portail. Pendant le moment qu'elle était à l'intérieur. Il y avait une drôle de sensation comme nous pouvons dire de la douleur. Rendu de l'autre côté, Aïratan regarda tout autour d'elle. Elle n'était plus dans son monde ceci lui fesait terriblement bizzard.

- Mais..mais nous sommes où là?

Au fond elle le savait très bien mais ceci était tellement étrange qu'elle fut juste capable d'articuler cette phrase. Quand Cirick leur disa qu'ils allaient allez rejoindre les élus, Aïratan se tenna près de ses deux compagnons. Car elle ne connaissait pas cette endroit et qui ces ce qui peut ce cacher ici? En plus elle pourait facilement ce perdre. Elle ne disa plus un mot et scrupta les horizons.

Sentant Airatan inquiette, je lui pris les avants-bras et la tourna tranquilement vers moi. Je la regardai dans les yeux et la réconforta.

-Ne t'inquiète pas. Je suis avec toi. Quand nous aurons atteint le monde de Cirick, promet moi que tu ne fera pas d'imprudences. Je n'ai pas envie de te perdre.

Aïratan ce laissa prendre les avants-bras et se faire tourner tranquilement vers Kelnozz. Elle l'écouta attentivement et puis sa voix la réconfortait. Elle adorait l'entendre et de savoir qu'il était au près d'elle.

- Oui Kelnozz je te le promet mais toi aussi promet moi le car je ne sais pas quesque je ferais si tu ne serais pas là. Tu contes beaucoup pour moi.

C'était la première fois que je ressentais ça. Mon coeur battait très vite et je ne savais pas pourquoi. Le regard d'Airatan était fascinant. Près d'elle je me sentais bien. J'aurais pus passer des heures à contempler son visage. Étais-ce celà l'amour?

Ce sentiment était inconnu pour moi. Je ne voulais pourtant pas la brusquer mais j'approchai, malgré moi, mon visage près du sien pour l'embrasser. Je m' arrêtai alors à quelques centimètres de sa bouche aux lèvres exquises. Je voulais voir sa réaction avant de l'embrasser vraiment. Mon corps aussi était tout près du sien. Je ne savais pas se qu'il allait se passer. Tout ça étaient inconnu pour moi.

Aïratan était entrain de contempler Kelnozz. Il était si beau...ces yeux rayonnait de mille feu. Le coeur d'Aïratan commenca à son tour à battre très vite. Était-elle tombé amoureuse de Kelnozz?

Quand celui-ci s'approcha d'elle, Aïratan le laissa faire. Les lèvres de Kelnozz était maintenant à quelque centimètre des lèvres d'Aïratan. Elle pouvait ressentir la chaleur corporelle que dégageait Kelnozz. À cette instant, Aïratan s'approcha de Kelnozz où elle sentait son corps contre le sien et elle déposa ses lèvres sur celle de Kelnozz et commença à l'embrasser passionément. Elle l'entoura ensuite de ses petits bras autour de son cou. Elle était si bien en sa compagnie si rassuré. Aïratan était sûr maintenant, elle l'aimait plus que tout au monde.

Ce baiser me parut durer une éternitée. Malgré tout, il ne dura pas assez longtemps à mon goût. J'était si bien près d'Airatan que j'aurais pus y rester des années durant. Tranquilement nous nous écartâmes l'un de l'autre. Je n'avais pas oublié que nous n'étion pas seul. Cyrick n'était sûrement pas loin. J'étais maintenant un peu mal à l'aise. Je regardais Airatan puis rougissais de timidité.

Voulant aller rejoindre notre compagnion je pris la main d'Airatan et me dirigea vers l'assassin. J'étais si heureux...

Cirick était grimpé dans un arbre pour observer les alentours. Sur une grosse branche, il était dissimulé par les feuilles. Il avait regardé d'un oeil désapprobateur le nouveau couple s'embrasser.

"Les faibles. Comment vont-ils réussir à se concentrer convenablement pendant un combat s'ils seront portés à penser à l'autre? Le mieux, c'est les Darkhorn. Aucune émotion, aucune distraction."

Kelnozz marcha dans la direction où il avait disparut. Il siffla pour lui faire signe qu'il se trouvait dans un arbre à l'opposé. Il n'avait pas de temps à perdre à le regarder le chercher partout dans les parages.

Aïratan était tellement bien enlaçer avec Kelnozz son amant. Mais malheureusement, le baiser ne dura pas assez longtemps qu'ils s'écartèrent l'un de l'autre. Puis la princesse regarda Kelnozz qui devenait mal à l'aise et commençait à rougir de timidité. Mais les yeux d'Aïratan se mire à pétiller de bonheur. C'était pour elle aussi la première fois qu'elle aimait un gars. J'avou elle n'avait jamais eu la liberté de pouvoir aimer quelqu'un. Mais les pensés d'Aïratan changea vite de sujet. Malheureusement, elle n'avait pas oublier Cirick même très loin de là. Comment oublier un assassin?

Par la suite, Kelnozz prena la main d'Aïratan pour ensuite se diriger vers l'assassin. Nous nous dirigeâmes dans l,endroit inverse de Cirick pour ensuite entendre son sifflement. Ce bruit provenait d'une hauteur donc dans un arbre et à l'inverse d'eux. Aïratan se tourna brusquement et leva la tête vers l'arbre qui était en face d'elle. Puis elle remarqua Cirick assi sur une branche les regardants. La jeune princesse fit un bruit de soulagement. Qui ces ça aurait pu être un ennemis un danger. Quand elle eu fini de reprendre ses esprit elle commença à parler.

- Que fais-tu dans un arbre Cirick? Jouet tu as cache-cache...

Puis elle partie à rire comiquement.

Cirick la regarda de son regard acéré. Il ne rit pas. Il ne riait jamais. Il regarda au loin.

- Les arbres procurent un endroit discret et haut perché pour voir les alentours.

Il sauta au bas de l'arbre pour atterrir en face d'Aïratan, à moins d'un pied en avant d'elle.

- La discrétion est toujours plus utile que votre fanfaronnage à tous les deux. Vous utilisez les techniques les plus pratiques pour se faire tuer. Vous avez de la chance tous les deux qu'il n'y est eu que moi près de vous. Vous venez tous les deux d'exposer la plus grande faiblesse des mondes.

Mais que voulait-il dire? Je ne comprenais pas ce qu'il califiait des plus grandes faiblesses des monde. Je regardai ma compagne. Je voyais l'incompréhension dans ses yeux. Je me retournai et demandai à Cirick:

-Que veux tu dire par là?

Cirick porta son attention sur Kelnozz. Il le regarda de ses yeux acérés et légèrement dédaigneux.

- L'amour. La pire des faiblesse. Tu deviendrais impuissant si quelqu'un menaçait Aïratan et t'ordonnait de ne rien faire pour la garder en vie. Ça va aussi affecter ton jugement.

Le jeune Darkhorn recula de quelques pas.

- Pour pouvoir garder la tête froide et être alerte en tout moment, il faut oublier les émotions. Elles ne servent à rien sauf à nuire.

Son ton était neutre. Les bras croisés et les yeux plantés dans ceux de Kelnozz, il trouvait patétique l'incompréhension face à des principes aussi simple pour le nouveau couple.

Ces paroles me parurent comme une gifle. Il est vrai que je n'avais pas aimé quelqu'un depuis dix ans. Airatan était, si on peux le dire, ma seule raison d'être. Ce sentiment était si doux. Comment une personne pourrait le renié. Pour moi c'était une force, pour Cyrick, une faiblesse. Cela ne me surpris guère. C'étais un assassin qui tuais sans aucun sentiment et ne suivant aucun code morale. Si j'aurais resté dans l'arène, je serais sûrement devenu comme lui.

Pour ne pas déclenché une dispute voir même un affrontement, je changeai de sujet.

-Alors, as tu trouvé les autres élus? lui demandai-je.

Cirick remarqua rapidement que Kelnozz souhaitait changer de sujet. Il était plus qu'évident que le couple était loin de comprendre l'évidence. Darkhorn s'en fichait. Qui hors de sa famille pouvait réellement comprendre le chemin menant à la perfection?

- Ils ont pas changé de place. Toujours au même banc à discutter.

Cirick pointa une direction du menton.

- Ils sont à moins de 100 mètres au nord-est.