La confrontation

Ils étaient maintenant rendu dans une petite ruelle. Un endroit idéal pour ne pas allarmer la garde pensai-je. Je les suivaient de toit en toit. Alors je me dis que le temps était venus d'entrer en scène. Je sautai alors en bas du toit et atteris devant l'assassin. Dragon slayer était dégainer, mais non enclenché. IL ne pouvait donc voir la lame ni le feu.

-Relâche la, lui dis-je calmement. Relâche la et j'épargnerai ta misérable vie... FUMIER! Alors je crachai à ses pieds.

La confrontatiopn était casiement certaine.

(Cyrik, si il y a un combat, tu peux désider mes mouvements mais, ne me blesse pas trop et ne me tue pas.)

Cirick s'attendait à le voir arriver. Il avait jeter les miettes sur son chemin pour attirer la bête à l'endroit voulu. S'il le voulait, Darkhorn pouvait créer un brouillard si épais qu'on ne voyait même pas notre main à quelques centimètres des yeux. Il avait voulu qu'il le suive.

- La porte pour le monde des passages n'est pas loin, Aïratan.

Il l'éloigna puis croisa les bras dans son attitude habituelle, les mains près des gardes de son épée et de sa dague. Il regarda le crachat au sol puis releva la tête.

- Je peux savoir ce qui te fait croire que tu as un quelconque droit de me menacer? J'ai sauvé ta peau alors que j'aurais très bien pu te laisser moisire dans ta cellule. Je ne suis venu ici que pour l'élue.

Il avança de quelques pas jusqu'à arriver nez à nez avec le jeune homme. Seul quelques centimètres séparaient leurs deux visages. Il ne craignait pas une attaque de sa part puisque son bouclier était toujours en marche. Il ne pourrait l'atteindre d'une arme.

- En ce moment même, mon monde est en train de se faire envahire par les vampires. J'ai pas choisi d'être un élu, mais je le suis devenu. J'ai pas de temps à perdre avec ton orgueil stupide. Si je ne réussit pas à trouver tous les élus rapidement, mon monde sera complètement détruit par cette race infâme.

Cirick fronça les sourcils.

- Imagine des êtres bien pires que moi qui peuvent en créer d'autres avec une simple morsure. Alors, désolé de te brusquer Grisou mais j'ai pas le temps de te tuer pour le moment. Si tu préfère, je peux toujours revenir quand tout sera fini.

Se qui me disait était troublant. Des vampires dans son monde et s' ils découvrait la même porte qu'avait emprunté l'inconnu. Ils nous trouveraient et nous tueraient tous. Alors, je compris la situation. Naif, comme j'étais, je ne pris pas le temps de réfléchir au sens de l'affirmation. Je répondis alors:

-Alors, je viens avec vous. Vous aurez sûrement besoin de mes talents, qui sait? En plus, les gens de Junik ont mit ma tête à prix. Si je reste ici, je mourrai, alors je me tournai vers Airatan.

-Je ne crois pas être capable de passé une journée sans être près de toi, Airatan. Ma place est à tes côtés. Imaginé être loin de toi et ne savoir si tu es en vie me tromatise. Je resterai auprèss de toi que tu le veuille ou non. Je me retournai vers l'étranger.

-Je vais t'aider à sauver ton monde et en passant, mon nom est Kelnozz et non Grisou. Toi, quel est le tien?

- Cirick.

Il recula de quelques pas.

- J'ai vu tes talents en combat. Tu esquives bien mais tu fais trop dans le spectacle. La vraie vie, c'est pas comme dans l'arène; les gens se foutent complètement que tu leur donne un bon spectable. J'ai vu des faiblesses dans certaines de tes parades.

Il marcha en direction de la sortie de la ruelle..

- Tu peux venir Kelnozz. Mais ne me mets pas de bâtons dans les roues. Et ne compte pas sur moi pour venir te sauver en situation catastrophique. T'es pas un élu, donc pas essentiel.

Cirick regarda la princesse.

- Le passage est deux ruelles plus loin.

Et il s'engagea dans la rue.