La réprimande

J'étais assis dans un coin de la salle d'entrainement et j'observais la jeune fille qui s'entrainait avec le chef de l'arène. Tout à coup il dévia sa parade et lui envoya un coup de pied en pleine figure. J'aurais tellement voulu aider la belle inconnue. L'ennui c'est que Pyrus m'interdit de parler à qui que se soit. Alors, je me contentai d'émettre un petit grognement. Pyrus m'entendit et arrêta son entrainement avec la jeune fille.

-Mais que fait tu ici imbécile? me cria t-il. Tu a uncombat dans dix minute. Aller!!! Vas mettre ton armure et prépare toi à tuer.

Je ne répondis rien.

-Aller plus vite que ça si tu ne veux pas recevoir dix coups de fouet pour ton impudence.

Sans attendre, je quittai la salle en jetant un dernier coup d'oeil à la jeune fille. Je hais cet homme...

Après être aller dans ma chambre et avoir pris Nightkiller et mon armure de cuir noir, je me rendis au passage du hérau. C'était un long couloir sombre d'oû s'échappait une étrange odeur de cadavre. À la fin de ce tunel une immence grille menait sur l'extérieur. Je m'approchai. Le soleil m'aveugla alors un peu et je senti sa chaleur sur ma peau. Tout à coup, j'entendis l'amuseur puvblique faire son long discour avant le duel.

-Oyé! Oyé! Habitant de Junik. Aujourd'hui Kelnozz affrontera le trio des Scorpions Noirs. Une équipe de féroce gladiateur affronteront votre champion au cheveux argentés. Combattants... aux armes!!!!!!!!!!!

À ce momment les grilles s'ouvrierent. L'arène était circulaire et le sol de sable était jonché de crânes et d'os. Mes adversaires avait l'air d' être bien coordonner. Celui du centre criait des ordre à ses compagnons en faissant tournoyé ses deux cimeterres. Celui de droite était de grande carrure et se battait avec une lourde claymore. L'autre plus petit et plus frêle possédait seulement une épée courte en argent. Poutant, un étarange engin sur son bras attira mon attention. Le seule point commun de ces brûtes était leurs lourdes cuiraces noirs avec l'emblème d'un scorpion. Le chef tendit ses deux lame face à moi et cria: GO!!!!!!!!


Le gros à la claymore chargea et j'esquivai abilement. Ma lame étant encore au fourreau, je la dégainai pour faire une entaille au mollet du mastaudonte. Son allié plus petit l'imita. J'escivai encore. Pyrus m'avait entrainer à esquiver tout les coup au corps à corps. ILn'y avait que les arme à distance dont j'avait le plus de difficulté à éviter. Le petit sauta et utilisa son engin au bras. C'était une arbalète automatique qui pouvait tirer un carreau par seconde sans être recharger. J'éviter l;es deux premier mais je reçu le troisième dans la jambe. Au même momment le chef fonceait sur moi lame haute. Alors j'uttiliser la parade en croix affin de bloquer les prochains coups. Tout à coup je vis une ouverture et lui lancea un coup de pied en plein visage. Il tituba et recula. Je put ensuite affronter le géant qui revenait à la charge. Je me m' accroupie pour éviter le coup à l'horizontale qui m'aurait tranché la gorge et lui enfoncé mon épée jusqu'à la garde dans la poitrine. Ensuite j'utilisé son cadavre comme bouclier pour bloquer les carreaux d'arbalète de son allié qui abassourdit ne saissait de me tirer dessus avec son arbalète de poing. Je lui lanceai le cadavre et fit volte face pour raffronter le chef qui me larda de feintes et d'estocs. Je revis la faille dans sa parade et tentai de lui renvoyer un coup de pied à la figure mais il ne se fit pas prendre deux fois. Il esquiva et me plaqua au sol. J'esquivai à l'aide de roulades succèssive ses nombreuses estocs qui mordait la poussière l'une après l'autre. Ensuite je me relevai et je lui fit face à nouveau.


Je pris ma cape verte feuille et je la fit tournoyer. Les nouveaux carraux d'arbalètes s'y plantère tous. Ensuite je la lanceai sur le petit qui la recu en plein visage. CE momment de répi me permit de bloquer une attaque basse du chef et de foncer sur le petit dont il eu la tête coupée.


Il ne restait plus que le chef. J'entendit alors le nom de mon épée crier dans les gradin. Alors je compris. Moi et le chef firent un bond de deux mètres. Alors feintes, estocs parade et coups de pied s'enchainèrent à une vitesse fulgurante sans que ni luoi ni moi prènn le dessu. Alors je crier:NIGHTKILLER!!!!

Mon épée s'embrasa alors d'un halo pourpre j'aveuglai mon ennemi et le transpercer. En plus je lui volai son âme tel était le pouvoir de mon épée maléfique. Ensuite je tombai dans l'inconscience.

Mon adversaire avait maintenant les yeux noirs comme la nuit et une expression de terreur sur le visage. Nightkiller avait maintenant aspirer son âme. Me sentant au bout de mes frorces je m'effondrai. Je ne sais pas combien de temps j'ai été dans le comas. À mon réveil j'était couché sur mon lit. Il était froid et humide et j'était couvers de sueur. Pyrgus se tenait près de moi et me regardait avec son allure autaine. Il me gifla.

-Tu l'as tué rapidement, tu ne l'as pas laisser souffrir, dit il.

-Si je n'aurais pas mit fin à sa vie rapidement il m'aurais tué.

-Peut-être, mais tu sais que la foule veut des cri, du sang et de la soufrance. Toi, tu leur donne de la clémence et de la compassion.

Il me gifla encore puis se calma.

-Tu es ignoble et incapable. Si au prochain combat tu ne fais pas souffrir ton adversaire, je te turai de mes propre main et très lentement.

-Mais vous ne le ferai pas... Sans moi vous n'êtes rien.

Pyrus me gifla une troisième fois puis se leva et me darda son regard noir avant de sortir de ma chambre. Je me recoucher la lèvre en sang en pensant que je vis vraiment dans un monde de fou et que personne ne pourra m'aider...

Devant la belle inconnue, je ne sut quoi répondre. Je dégluti avec peine et réussis à articuler ces quelques sylables.

-Bon...jour.

Elle me regarda d'un air étrange. Quel idiot je suis! C'était la première fille qui m'avait adresser la parole depuis plusieurs années. Étant gêné au plus haut point, je tentai de cachai ma bouche en sang. Je ne voulait pas quel sache que la maître soit été si violent avec moi. IL y eu alors un grand malaise entre nous. Ni l'un ni l'autre osaient parler.

Hj: contrôle pas mon personnage!

Puis Aïratan intérompa le silence qui régnait.

- Kelnozz je crois, j'ai vu ce qui ces passer avec Pyrgus. Vous n'avez pas besoin de le cacher.

Aïratan alla s'assir à côté de Kelnozz.

- Tu ne dois pas restez ici, tu doit t'enfuir de l'arène et être libre. Si tu veux bien je pourrais t'accompagner!

Aïratan déposa sa tendre main sur l'épaule de Kelnozz. Mais Pyrgus arriva à cette instent dans la chambre. Il pogna Aïratan brusquement et la projecta sur le mur tête première. Il ragarda alors Kelozz dans les yeux.

Je n'avais jamais vu Pyrgus aussi fâché. Il avait brusqué la jeune fille dont j'avais vu en elle une amie et bien plus encore... Tout se que j'avais possédé, Pyrgus me l'avait enlever: ma famille, mon foyé et maintenant une jeune fille qui, malgré les interdiction du maître, était venu abréger mes souffrance.

-Que t-avais-je dis, lança calmement Pyrgus. Aucun contact avec personne. Aujourd'hui tu ma désobéi deux fois et je ne le prend pas.

Alors nous nous regardèrent pendant quelques instants. Je pensai à se que la jeune fille m'avait proposé avant l'arrivé du maîtyre d'arme. Prenant mon courage à deux main je lui répondit avec froideur.

-Depuis que je suis tout jeune vous m'avez humilié, batut et enlever tout se que j,avais de plus cher! Aujourd'hui, il est temps que les choses changent.

Fou de rage Pyrgus me gifla. J'avais prévu le coup. Je lui attrapai la main au vol et lui flanquer un coup de pied dans le ventre. Il fini son vol plané dans la salle d'entraìnement. Rapidement, je pris Nightkiller qui était sur ma tête de lit et m'élancer à sa suite.

Il était debout et tenait un manche d'épée à la tête de dragon la gueule ouverte. Mais où était la lame?

-Cette salle te rapel t-elle des souvenir Kelnozz? C'est ici que je t'ai appris tout se que tu sais. C'est ici que je t'es entraìner et corriger. Je crois que je vais maintenant t'apprendre une chose ou deux...

Il apuya alors sur l'oeil du dragon un lame d'un mètre environ et du feux en jaillit.

-Toi Pyrgus, lui lançai-je avec défis, Nightkiller aspirera ton âme et ta vie. Je me vengerai du mal que tu ma fait endurer.

Alors, fou de rage, je fondis sur lui et ... frappa dans le vide.

-Rater,cria t-il

Mon maître avais se don exeptionnel d'esciver les coups. Il me l'avait transmit à travers les années. Le manège se répéta donc plusieurs fois. Il frappa. Je bloquai l'attaque basse et ripostai avec trois estoc rapide à la poitrine. Il bloqua le premier et le dexième et esquiva le troisième et me fis un croc en jambe, qui me fit trébucher. Je roulai alors sur moi mêm e bour esquiver une série de coups. Je me relevai, pris un poignard dans le raque à armes et lui lancer à toute vitesse. Il alla se ficger dans la cuisse de Pyrgus.

J'avais maintenant trouver son et mon point faible. Un maître de l'esquive comme nous pouvait éviter les attaques au corps à corps à 100% lorsque nous ne sommes pas fatiguer. Par contre la magie et les armes de jets son notre fléau.

Pendant que je voulais saisir un autre couteau pour lui lancer il était déja sur moi. Je m'accroupi pour éviter un coup à la tête et le frappai en hauteur. Les faintes, les estocs, les parades et les passe d'armes s'enchaînèrent rapidement pendant une dizaines de minutes. j'espérai avoir de l'aide car ni moi ni mon adversaire n'arrivais à prendre le dessus. Nous esquivions et bloquions tout les attaque de notre adversaire sans jamais avoir l'avantage de l'un sur l'autres. Je commençais à faiblir. Jespèrai que la jeune fille vienne me prêtai main forte. Fatigué je serais plus lent et plus vulnérable. J'espère qu'elle viendra...

-Non je ne t'abandonnerai pas! criais-je.

Pyrgus était mourrant mais non pas impuissant. Je pris mon épée invoquai son pouvoir démoniaque et transperçai le corps de mon mentor. Le halo pourpre se dissipa dans la plaie que je venais de faire. Son visage devint pâle, ses yeux rond comme des billes. Tel était le pouvoir de l'épée voleuse d'âme. J'avais maintenent tué mon boureau. L'homme qui m'avait entraîné à devenir un monstre sans conciance ni raison. Maintenant, j'étais libre!

Je revint alors vers la jeune fille. Elle saignait beaucoup à la tête. J'arrachai un bout de mon chandai pour lui faire un bandage. Tout à coup, j'entendis des bruit de pas dans l'escalier en colimaçon. Je pris la jeune fille sur mes épaules et l'emmenai dans ma chambre. J'abaissai le flambeau au dessus de mon lit et un passage s'ouvrit dans le mur du fond. Alors je mis engouffrai. Au loin j'entendis mon nom crié par un des combattant de l'arène. Maintenant que j'avais tué un maître d'arme, ma tête serait mise à prix. Je réusirai à atteindre l'extérieur sans problème. Je fixer alors le beau visage de la jeune fille. Je ne lui avait même pas demander son nom. Ensuite, je regarder la nouvelle épée qui battait mon flanc gauche et sourit.

-Dragonslayer, murmurai-je dans le silence du tunel qui me gonduirais à l'exterieur de l'arène.