L'évasion

L'inconnu me tirait très fort et j'avais les poignets en feu. Par contre j'avouais qui jouais bien son rôle. Arrivé dans la salle d'armes trois soldats discutait tranquilement. En nous voyant, ils saissèrent leur discution. L'un d'entre eux demanda à l'inconnu:

-Qu'est-ce que tu fais avec ce tueur et la pricess? On s'en étaient déjà occupé.

Alors je reconnu les reconnus. C'était eux qui nous avait emprisonés. Ils seraient les premier à mourir,pensai-je.

Les trois gardes relouquaient Aïratan. Cirick fit comme si de rien n'était. De toute façon, la situation devait être assez fréquente chez les gardes.

- La situation extérieure et trop dangereuse. J'étais de garde devant leur cellule lorsque le supérieur m'a dit de les transférer pour pas que la chose dehors les trouve. Il vous aurait laisser le numéro de la nouvelle cellule.

Darkhorn sentait que derrière lui, l'autre prisonnier rageait. Cela lui confirmait son idée que c'était les gardes qui s'en étaient pris à la princesse. Il détendit légèrement ses doigts autour de la chaîne rattachée à ses menottes. Si besoin était, il lui laissait l'opportunité de se frayer un chemin à coups de chaînes pour attindre ses armes.

Hj: Dsl pour mon retard!

Aïratan n'avait toujours pas confiance envers l'homme qui la tennait. Quand elle apperçu les 3 gardes, elle voulut s'enfuir mais il la retenait fermement. Aïratan ne croyait toujours pas au plan de l'inconnu. Qui ces peut-être il allait la redonner aux gardes!

- Lache moi sal connard!

Elle regarda alors Kelnozz d'un air désespéré. Elle ne réussisait pas à se libérer des bras de l'autre.

Je voyait mon amie me regarder désespérément. Je ne pouvais plus contrôler cette fureur qui me nouait la gorge. Alors j'aperçus Nightkiller et dragonslayer sur une table. Ne pouvant plus résister, je tirai violement sur la chaine la faisant volée des main du faux garde. Les vrais, par contre, dégainèrent leurs épées. J'évitai facilement les coups précis de mes ennemis. J'en assomai un avec ma chaine et réussi à me rendre près de mes armes.

Je saisit Nightkiller d'un main et renvoyai une des dague d'Airatan à sa propriétaire. Étant armé je bondit sur le deuxième garde et le transperceai de mon épée. Mes alliés s'occuperaient des autres: un en parfaite forme et un autre assomé.

J'étais toujours prisonier de mes menottes, se qui m'emcombrait beaucoup. Alors, je frappai sur le bord de la table de mes poignets faisant sauter la goupilles qui retenait les menotes fermées. Maintenant que je pouvait utiliser mes deux mains, je m'emparai de Dragonslayer. Ayant mes deux épée je me mis à tourner sur moi-même à grande vitesse, mes épées pointées de chaques côtés de mon corps. J'envoyai rapidement trois ennemis dans l'autre monde. Ensuite d'une arabesque mortel, j'en expédié deux en enfer.

Deux gardes m'avaient pris en tenaille. Alors je fis se que je svais faire de mieux: esquiver. Au bout de quelques minutes ils étaient fatigué et désespéré, car aucuns de leurs coups avaient réussi ne serais-ce qu'à m'effleurés. Alors de deux estocs rapides je les éliminai. La voie était libre et j'entendis Airatan me crié de la suivre. Alors je m'élanceai dans sa direction. Nous laisâme derière nous le faux garde.

Cirick était accoté contre un mur, les bras croisés. Il regardait comment se débrouillaient l'élue de ce monde et le prisonnier avec elle dont il venait d'avoir la confirmation qu'il était une bête d'arène. Un gladiateur dont le métier était de tuer dans un esprit de spectacle.

Les deux jeunes gens s'enfuirent et les gardes les suivirent. L'un d'entre eux resta et s'approcha du jeune Darkhorn.

- Pourquoi t'as rien fait?! T'aurais pas pu au moins te battre avec nous contre eux?!

Cirick passa son bras autour des épaules de l'homme, un pouce trainant sur une des vertèbres de son cou.

- Pourquoi me battrais-je contre ceux que je suis venu libérer?

D'un coup sec, il appuya sur la vertèbre et le garde se retrouva au sol, mort. Cirick venait de lui casser le cou.

"Bon, c'est le temps d'aller les aider un peu. J'ai tous les renseignements que je voulais sur leurs techniques."

L'adolescent s'élança dans les couloirs.

Cirick arriva dans un couloir élargi. Tout près se trouvaient les portes ouvertes de l'arène. La princesse et le prisonnier étaient acculés contre le mur et les gardes les encerclaient.

Un brouillard épais s'échappa des deux portes. Après quelques instants, plus personne ne voyait le bout de son nez. Cirick, muni de sa vision infra-rouge, commença à faire son travail. Silencieusement, garde après garde, il enfonçait Ange Mort dans les corps. Mourant sans un bruit, ses victimes ne pouvaient avertir la venu de l'étrange créature de mort.

En voyant le macabre spectacle, je ne pus retenir un frisson. La chose qui venait de faire apparaître ce brouillard tuait les gens dans leurs dos. Un assassin pensai-je. Un homme qui tue sans regret et silencieusement sans laisser une chance à sa victime de se défendre. Je savais alors que j'aillerais cet homme pour l'éternité. Les garde tombait un à un sans aucune expression sur le visage. Cela me fit penser à Nightkiller, mon épée diabolique.

Une fois les gardes morts et le brouillard dissipé, je pus voir clairement le tueur. Je m'approchai de lui et le regarda droit dans les yeux.

-Merci, mais on n'avait pas besoin de ce carnage pour s'en sortir. Nous aurions pu très bien nous débrouiller sans toi... assassin.

Aïratan regarda un après l'autre les gardes tomber par terre sans vie. Leur regard était devenu si vide et froid. Quand elle apperçu à son tour qui était l'assassin, elle fronça les sourcis.

- À non dit moi pas que tes un assassin!

Elle ahissait plus que tout au monde la tuerie, le massacre et le pire de tout un assassin! En plus elle en avait un en face d'elle. Elle lui tourna alors le dos et parti dans une direction qu'elle ignorait où ça ce débouchait.

- Continuer de votre bord moi je m'arrangerai seule!

Cirick avait renguainé depuis longtemps Ange Mort lorsqu'il fit se dissiper le brouillard. Le spectacle que donnaient les dixènes de cadavres recroquevillés et sec des gardes dépossédés de tout leur sang ne touchait en rien le coeur de l'adolescent.

- Je vous avais dit que si vous aviez vraiment des problèmes, j'interviendrai. Dans la salle de garde, ça allait bien, il y avait une échappatoire facile. Ça vous a pris du temps la découvrir mais vous l'avez pris. Ici, vous étiez pris au piège. Maintenant, les gardes ne sont plus un problème.

Aïratan partait. Cirick ne voulait pas être venu ici pour rien et l'arrêta de son pouvoir télékinésique. Il forma ainsi un mur infranchissable devant elle. Comme le bouclier qu'il tenait encore autour de lui.

- Ne compte pas partir comme ça, l'élue. Je suis venu pour toi. Je ne quitterai pas ce monde sans toi.

Il avança vers la princesse et lui prit le bras. Il tourna la tête vers l'homme.

- Toi, tu restes. Fais ce que tu veux de ta vie, j'm'en fou. Tu ne ferais que nous nuire où nous allons. J'ai pas besoin d'une bête de cirque dans les pattes.

Puis il tira Aïratan vers les deux portes de sortie de l'arène. Darkhorn avait laissé la brume épaisse aux portes pour masquer leur fuite et les cadavres à la vue du grand publique.

Ce monstre allait s'enfuir avec mon amie. La seule personne aimable et compréhensive que j'ai connue. Encore une fois, le monde tentait de m'enlever se que j'avait de plus cher. Mais cette fois si, c'était différent. J'était armé et surentreîné. Je ne les lesseraint pas partir comme ça.

Le brouillard n'était pas assez épais pour m'empêcher de les voirs, alors je les suivirent. Je n'était pas le plus discrèt au monde, mais ils avaient l'air de ne pas m'avoir remarqué. C'est comme ça que nous sortâme de l'arène.

(Ça continue dans les rues de Junik)